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~~ Margelle d'un puits de verre blanc ~~ de F E . Sicard Lundquist
Au bout de cette image où brûle un serpentin
Des rivages de boue et des miroirs de glace
Sculptent de leur pouvoir le fronton d’un palace
Que des flammes de vent tirent d’un margotin.
Sous les cartes du jeu se cache un plaisantin
Mais personne ne veut puiser dans sa besace
Les trésors d’une nuit veuve de carapace
Entre les bruits du bois et ceux d’un strapontin.
Les poches vident l’ombre avec des mains de sable
Et sèment sur la mer les éclats d’un retable
Qui dans la cathédrale illustre un don de dieu.
Et pourtant les missels prêchent une parole
Qui d’un revers de mot parfois mes lèvres frôle
Comme un enfant perdu qui me dirait adieu.
Francis Etienne Sicard Lundquist ©2014
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Commentaires
Bonjour Marielle désolée pour hier et la même chose a recommencé ce matin
j'ai donc téléphoné avec le portable ,il faudra surement changer la box!!!
car pas de télé et pas de téléphone les deux coupent en même temps!
bisous monique
Tu as raison Marc, il faut laisser à la poésie un peu de mystère et de ressenti personnel . Merci encore à mon ami Francis.
Bonne soirée à toi, ici il a fait le même temps que chez toi...
Je t'embrasse affectueusement.
Marielle.
Je viens, après avoir lu ton commentaire sous mon article de lire la proposition de Mireille du Sablon et ton complément d'informations.
Il y peut être trop "d'intime" dans ces mots, trop d'un ressenti très personnel pour qu'ils nous soient accessibles.
Surtout amie, n'excuse ni ton ami le poète de l'avoir écrit ni toi de nous l'avoir proposé. Cela ne me dérange pas, parfois, de n'être pas capable de comprendre facilement tous les poèmes que je peux lire. J'accorde très volontiers le mystère de ses mots à ton ami.
Bonne fin d'après-midi. Je suis sorti, il fait doux, GRIS et il pleuviote de temps en temps... Je t'embrasse avec affection. Marc de Metz.Après relecture avec les explications données, tout devient lumineux, et finalement le texte se dévoile dans sa beauté et sa pudeur
amicalement
Claude
Bonjour Ma chère Marielle je suis bien contente j'arrive après tes explications ,
j'aime beaucoup les poèmes que tu nous proposes de F Sicard et pour moi
ce n'est pas la première fois que j'hésite sur le sens des mots d 'un poème.
bonne journée bisous monique
...serait-ce que "l'église" ne saurait faire preuve de charité avec un ...pauvre voyageur? offrir un toit sans étoiles et un simple strapontin....qui sait?
Bises du soir, chère Marielle, de Mireille du sablon
Moi aussi j'ai beau relire ce poème je ne comprends pas le message.
Mais je peux en saisir la beauté des mots même si là ils ne me guident pas.
Il est acceptable qu'un poète s'écrive des mots par lui seul entendu...
Bonne soirée amie. Je t'embrasse avec affection.
Nous sommes toujours dans des journées que grises, que toujours grises.
@ bientôt Marielle.Je suis rassurée en lisant les commentaires des autres de voir que je ne suis pas la seule à ne pas comprendre ce poème .
Je t'embrasse Marielle
4LorraineLundi 15 Décembre 2014 à 10:04Je suis un peu décontenancée par ce poème dont je ne saisis pas vraiment le sens. Mais j'aime la musique des mots et c'est déjà beaucoup!
Merci, chère Marielle, ici l'hiver semble s'éloigner!!!... On nous annonce 11°; décidément, le climat change!
Je t'embrasse,
Lorraine
Je ne comprends pas très bien ce poète, je pense qu'il a une idée bien précise, mais je ne la saisi hélas pas. Par contre j'aime ces vieux puits qui nous offrent leur margelle
amicalement
Claude
Bonsoir dans ma nuit Marielle ! merci pour ces belles lignes ! bisous à plus tard bonne semaine !
Bonsoir Marielle, j'ai difficile d'en comprendre tout le sens... mais je te remercie de partager les poètes qui tu aimes beaucoup, bises de jill
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